Permettre aux Juifs dont on s’occupe de manger « l’Aliment de la Foi » – la matsa chemoura du Séder de Pessa’h – est un moyen sûr de les faire progresser spirituellement, et de leur faire ainsi mériter les bénédictions matérielles.
Ce que je préfère, c'est une douzaine – ou plus – de longues roses rouges fraîchement coupées, mais n’importe quel bouquet joliment assorti fera toujours apparaître un grand sourire sur mon visage. Mon mari connaît mon faible pour les fleurs et il l’utilise d'ailleurs à son avantage...
Sur les hommes et les bêtes, les taureaux et les colombes, le sang et la graisse, le feu et l'encens, le sacrifice et le plaisir, la conscience et la culpabilité…